Il existe de nombreux régimes minceur. Chaque régime a sa particularité, ses effets amincissants. Le régime Seignalet fait partie des méthodes d’amaigrissement destinées à perdre du poids. Il promet une perte de poids rapide et durable. Vue d’ensemble sur ce qu’il faut savoir autour de ce régime alimentaire.
Table of Contents
L’historique de la diète Seignalet
Le régime Seignalet a été inventé par Dr Jean Seignalet. L’invention de ce régime remonte en 1985. Ce régime tire son origine en France, car le médecin lui-même est un citoyen français résidant en France.
Il a créé ce programme diététique perte de poids dans le cadre de la lutte contre certaines maladies chroniques ou maladies d’élimination, et non dans le cadre de la perte de poids. C’est à travers ses études que le médecin a pu constater que le régime est efficace pour perdre du poids. La diète Siegnalet commence à faire le buzz en France depuis 1986 et vers 1987, elle devient très prisée par les passionnés par la minceur au monde.
Les principes du régime Seignalet
Le régime évoque un retour à la nature en termes d’alimentation. En effet, il requiert surtout la consommation des nourritures de nos ancêtres chasseurs-cueilleurs. En quelque sorte, la diète Seignalet dispose presque de la même caractéristique qu’une alimentation paléo.
Pour Jean Seignalet, les nourritures à l’ère actuelle revêtent plusieurs toxines. Pourtant, les toxines font souvent prendre du poids en plus de nuire à la santé. Les aliments industriels actuels occasionnent des maladies auto-immunes diverses.
Jean Seignalet, en tant qu’immunologue, invente l’alimentation Seignalet dans le souci de réduire le risque d’atteindre aux maladies auto-immunes. D’où l’importance de la consommation des nourritures moins toxiques.
Le crudivorisme est un mode d’alimentation à adopter exclusivement avec le régime Seignalet. Les modes de cuissons revêtent aussi de l’importance avec ce régime : il faut miser sur la cuisson à la vapeur et à l’eau et bannir la cuisson au micro-ondes et toute cuisson à une température supérieure ou égale à 110°C.
La notion d’hypotoxie de la diète
Le régime Seignalet est qualifié d’hypotoxique : il est ainsi à caractère hypotoxique, mais pas seulement. Comme déjà indiqué, il a aussi des vertus purifiantes et déxofiantes. En plus de lutter contre les maladies auto-immunes, la méthode Seignalet est aussi conçu dans le but de prévenir ou de soigner les maladies d’élimination. Celles-ci désignent notamment les maladies suivantes :
- Asthme ;
- Eczéma ;
- Maladie de Crohn ;
- Colite ;
- Urticaire.
Encore selon Jean Seignalet, les aliments à l’époque actuelle provoquent des maladies d’encrassage (le diabète de type 2, les tendinites, la migraine, l’arthrose, etc). Or, ces maladies détériorent le processus métabolique. Ce qui rend donc nécessaire l’adoption d’une alimentation susceptible de faire l’objet d’un encrassage cellulaire.
L’inexistence de l’encrassage cellulaire empêche l’intrusion des macromolécules indésirables dans l’organisme. La résultante en est l’augmentation du métabolisme basal et l’amélioration de la digestion ainsi que le transit intestinal. C’est vrai parce que le régime Seignalet épargne la paroi l’intestin grêle.
Les aliments à privilégier et à interdits avec le régime Seignalet
Comme tous les autres régimes alimentaires, le régime Seignalet préconise certaines nourritures et proscrit certaines autres nourritures. Le tableau dressé ci-dessous met au clair les aliments qu’il faut éviter et ceux qu’il faut privilégier dans le cadre de la diète Seignalet.
Les aliments conseillés | Les aliments déconseillés |
Les huiles essentielles issues des plantes, céréales et graines suivantes : maïs, canola, arachide, tournesol, lin, truffe, pépins de raisins ; Les céréales telles que le sarrasin et le riz ; Le jaune d’œuf légèrement cuit ;Les fruits de mer et poissons légèrement cuits ; Les fruits frais et les fruits oléagineux ; Les féculents comme les lentilles ; Les légumineuses comme les fèves sèches :Les sucreries non raffinées telles que le miel et les sucres complets (sucre de canne, sucre de betterave, sucre de coco, etc). | Les laits issus des animaux suivants : brebis, chèvre, vache ; Les dérivés des laits : fromages, crèmes entières (qu’elles soient glacées ou non), yaourts, beurre ; Les gâteaux, le pain, la pizza, les pâtes, ainsi que les céréales dont ils sont issus : seigle, épeautre, avoine, orge, maïs, blé, kamut ; Les huiles raffinées ; Les sucreries comme la confiture et le sucre raffiné. |